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À PROPOS
DU PAFM

L'objectif du PAFM est d'impliquer les masses africaines dans les discussions et les processus de prise de décision sur l'Unité africaine.  Nous, au PAFM, croyons que le peuple est le propriétaire légitime de la Souveraineté des États que nous voulons unir.

À PROPOS

MISSION

Le Mouvement Fédéraliste Pan-Africain a été initié par un Appel pour le lancement du premier Congrès Fédéraliste Pan-Africain le jeudi 26 février 2015 par des panafricanistes sénégalais, dont la plupart étaient des compagnons de Cheikh Anta Diop, Abdoulaye Wade ou Léopold Sédar Senghor, qui étaient des pionniers dans l'effort de créer un État viable d'Africains, par des Africains et pour des Africains.

La réponse massive à cet appel a conduit à la convocation du Pré-Premier Congrès Fédéraliste Pan-Africain qui a eu lieu à Accra, au Ghana, du 8 au 13 décembre 2018. Ce Pré-Congrès a réuni plus de six cents panafricanistes venus de plus de 50 pays du monde. Quelques décisions très importantes ont été prises par le Pré-Congrès :

-  Une Déclaration, appelée la Déclaration d'Accra, pour lancer officiellement le PAFM a été adoptée 

- Le Comité Exécutif du Comité International Préparatoire (IPC) du premier Congrès Fédéraliste Pan-Africain a été élu

- La décision d'établir le siège du PAFM à Bamako, au Mali.

Le Mouvement Fédéraliste Pan-Africain se construit autour de l'Appel pour le premier Congrès Fédéraliste Pan-Africain. C'est une coalition de base pour l'Unité Africaine. Son approche est une mobilisation de bas en haut pour l'unification politique des États sur le continent africain et ceux dans les îles des Caraïbes où les « Africains de Sang » constituent la majorité de la population.

 

Ce processus inclut également les millions de Noirs en Amérique du Nord, en Amérique Latine, en Europe et en Asie qui sont des descendants d'Africains asservis ou d'Africains qui ont migré volontairement vers ces zones mais qui sont minoritaires dans leurs États de résidence.

Son objectif est d'impliquer les masses africaines dans les discussions et le processus de prise de décision sur l'Unité Africaine. Parce qu'elles sont les propriétaires légitimes de la souveraineté des États africains que nous voulons unir. Nous pensons qu'il est évident qu'elles ont, et elles seules, le véritable pouvoir d'autoriser les États africains à renoncer volontairement à une partie de leur souveraineté à une entité qu'elles estiment capable de la gérer correctement dans leur intérêt.

Au cours des cinquante dernières années, ces États ont prouvé leur incapacité à gérer des portions significatives de leur souveraineté et n'ont eu d'autre choix que de les céder au gouvernement de leur ancien colonisateur qui n'est pas responsable devant notre peuple. Un pacte fédéraliste entre les États africains leur permettra de récupérer ces portions de leur souveraineté et de céder volontairement des parties de celle-ci qu'ils jugent appropriées à un gouvernement fédéral « du peuple africain, par le peuple africain et pour le peuple africain ».

 

Jusqu'à présent, un nombre très limité d'Africains a été impliqué dans cette discussion, qualifiée par certains de Grand Débat. Ils ont été soit les chefs d'État et de gouvernement africains, les universitaires ou des personnes proches de la direction des partis au pouvoir dans les différents pays africains. Les débats sur le gouvernement de l'Union avant le Sommet des chefs d'État et de gouvernement de l'UA de 2007 à Accra n'ont pas impliqué les masses africaines. Il en a été de même pour le Sommet de 1963 qui a donné naissance à l'OUA et la rencontre de Lomé en 2000 qui a donné le feu vert à la mutation de l'OUA en UA. Les masses africaines des îles des Caraïbes n'ont pas eu plus de considération que leurs frères du continent africain dans le même débat qui a conduit à la création de la CARICOM.

COMITÉ
PRÉPARATOIRE
INTERNATIONAL 
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