"Chaque étudiant en sciences politiques, chaque étudiant en économie sait que la race ne peut être sauvée que par une base industrielle solide. La race ne peut être sauvée que par l'indépendance politique. Enlevez l'industrie à une race, enlevez la liberté politique à une race, et vous avez un groupe d'esclaves... Depuis plus de trois cents ans, l'homme blanc est notre oppresseur, et il ne va naturellement pas nous libérer pour que nous accédions à une liberté plus grande, à une vraie liberté, à une vraie démocratie. Nous devons nous libérer nous-mêmes... Préparons-nous AUJOURD'HUI. Car les LENDEMAINS dans la vie des nations seront si mouvementés que les Noirs seront partout appelés à jouer leur rôle dans la survie du groupe humain le plus fort". - Hon. Marcus Mosiah Garvey
26 octobre 2024 - Le professeur Joomay Ndongo Faye, secrétaire général du comité préparatoire international du mouvement fédéraliste panafricain (IPC-PAFM) émet
Un avertissement, pas une promesse !
"J'espère que ce message vous trouvera, vous et vos proches, en paix et en bonne santé. Nombreux sont ceux qui se sont interrogés ou ont exprimé leurs doutes sur le bien-fondé du slogan central du Mouvement Fédéraliste Panafricain (PAFM) : Tous pour la naissance des Etats Unis d'Afrique d'ici la fin de la décennie 2020-2030 ! Ce slogan n'est ni sorti du chapeau d'un magicien, ni l'expression du souhait optimiste d'un rêveur irréaliste. Il est le fruit d'une analyse profonde et minutieuse des affaires géopolitiques mondiales d'aujourd'hui. Veuillez lire attentivement cette note afin d'en comprendre le sens. La nouvelle course aux terres africaines en Afrique et dans les Caraïbes est aujourd'hui en plein mouvement. Historiquement, les processus de réorganisation géopolitique prennent environ une génération pour suivre leur cours. Cela signifie que si les Africains ne trouvent pas un moyen d'arrêter cette nouvelle ruée qui a commencé au début des années 1990, nous serons recolonisés (par des moyens encore plus dangereux que l'envoi d'armées sur nos sols). L'instabilité politique qui règne aujourd'hui en Éthiopie, le champ de bataille entre les États-Unis et la Chine et, en République centrafricaine, entre la France et la Russie sont des preuves évidentes de la bataille pour découper à nouveau l'Afrique en zones contrôlées par l'étranger. En ce qui concerne le PAFM, seule l'unification politique de nos États peut empêcher cette nouvelle mêlée de s'achever. En résumé, "les États africains unis d'ici la fin de la décennie 2020-2030" n'est pas une promesse du PAFM, mais un avertissement aux Africains du monde entier. Certaines personnes, pas nécessairement des afro-pessimistes, diront que cela ne peut pas se faire parce que ceux qui ont intérêt à la balkanisation des États africains ne nous laisseront pas nous unir, ils ont trop à perdre. Ils citeront les exemples de Nkrumah en 1963 et de Khadafy en 2007. Ce que ces sceptiques oublient ou ne prennent pas en compte, c'est qu'"un peuple uni ne peut être vaincu". Nkrumah et Khadafy n'ont pas mis le peuple africain au centre de leurs efforts pour unifier les États africains. Le PAFM, une coalition populaire d'Africains, a tiré les leçons des expériences de Nkrumah et de Khadafi.
Nous DEVONS unir l'Afrique !
Si nous acceptons qu'il n'y a pas de prix trop élevé à payer pour le recouvrement de notre souveraineté et la réparation de notre dignité en tant que peuple noir !
Devenez un organisateur du PAFM et non un spectateur de l'oppression et de l'exploitation des Africains !"
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